La gratification, la prime d’encouragement ou encore la technique de motivation, communément appelé incentive a vu le jour il y a une vingtaine d’années. Son premier objectif est de booster le personnel à produire plus et de l’aider à apprécier son travail à sa juste valeur. C’est un ensemble de techniques destinées à entretenir la motivation de l’équipe dans l’entreprise. Au départ, les primes de gratification allouées pour les meilleurs collaborateurs étaient surtout des voyages d’affaires. Cette tendance a beaucoup évolué, car ces voyages ne font plus autant d’adeptes qu’il y a dix ans. D’autres politiques d’incentive ont alors commencé à voir le jour après une étude des besoins du personnel en termes de gratification. On a constaté que le team building répond aussi bien à l’attente du personnel qu’aux objectifs de l’entreprise. Le but est de générer la cohésion, l’esprit d’équipe et la complicité interpersonnelle. De nos jours, on répertorie des dizaines d’animations incentives. Au premier choix, on retrouve l’animation sportive puisque le sport réunit toutes les bonnes attitudes et les valeurs importantes à adoptées dans une entreprise. Avec le sport, solidarité, assiduité, camaraderie, engagement sont respectés. Il fait vivre des moments de partage et des expériences collectives favorable à la cohésion de groupe. D’autres activités incentives telles que les randonnées, raids, VTT, balades ou encore des balades en pleine nature peuvent aussi être adoptés pour la promotion du développement durable. Un bon nombre d’entreprises sont actuellement captivées par ces « incentives responsables ». Nous pouvons aussi constater que les incentives culturelles à l’instar de l’ animation cinéma commencent à attirer plus d’adeptes. Partager des pensées, renforcer la cohésion, développer le sens de la créativité sont les éléments clés de ce type d’incentive. La crise a modifié certaines habitudes par rapport à la politique incentive, mais après ces quelques années de difficulté, le marché de l’incentive est de nouveau relancé.